Laurent Bourguès ou Laurent Bourgues Navigateur
   
Laurent Bourgues

Nationalité Française
Vit à Lorient
Né le 31 décembre 1980

profession skipper

prend le départ du Défit Azimut Lorient 2023 avec Damien Seguin
prend le départ de la Transat Jacques Vabre 2023 avec Damien Seguin catégorie Imoca

Mise à jour : 21 novembre 2023
 
   
 

PALMARÈS :

2023 :
- 11ème du Défit Azimut Lorient avec Damien Seguin
-
15ème de la Transat Jacques Vabre 2023 avec Damien Seguin catégorie Imoca

2022 :
- 14ème de la Solo Maître Coq
- 9ème de la Solo Concarneau Guy Cotten
- 27ème de la Solitaire

2010 :
- 13ème de la transat AG2R 2010 avec Sébastien Picault

2009 :
- 8ème de la Transat 6.5
- Participation au Tour de France à La Voile sur Lagardère
- 2ème de la Mini Fastnet

2008 :
- 2ème de la Marseille - Alger Cup
- 6ème de la Mini Fastnet
- 4ème de la Pornichet Select

2007 :
- 27ème de la Transat 6.5
- 2ème de la Mini Lions

2006 :
- 13ème de la Mini Fastnet

2005 :
- 2ème de l'EDHEC en Jod 35 (Skipper)

2004
- Vainqueur du Challenge BOREAU enOpen 7.5

2003
- SNIM à Marseille en Melges 24

2002
- Championnat de France Olympique en Planche à Voile Mistral One Design

2000
- 4ème du Championnat de France Espoir Laser au Havre

1999
- Vainqueur aux intrenationaux de France Laser
- Vainqueur du Classement National des coureurs Laser

1998/2000
- Champion de Ligue Alpes Provence Laser

Portrait :

Ce marseillais 100% pur Canebière s’est installé en Bretagne en 2005 pour travailler dans le composite, sa spécialité. Très vite, il s’essaie au Mini. Immédiatement, il est séduit.

En 2006, il s’engage sur ses premières courses au large à bord d’un prototype qu’il vient d’acquérir : « Adrénaline », un plan Manuard de 2001.

En 2007, Laurent est au départ de la Transat 6,50 Charente-Maritme/Bahia, sa toute première transatlantique. 13e de la 1re étape, il est en tête de la seconde lorsque des soucis techniques entravent sa course. Il terminera 27e, un peu amer, malgré cette jolie performance pour une première ! Laurent n’a depuis qu’une idée en tête : revenir sur la Transat 6,50 et prendre une sorte de revanche.

Petit à petit le skipper-bricoleur rééquipe presque entièrement son bateau. D’origine, il ne reste plus que la coque et la dérive. Mât aile en carbone, ballast, dérives, safrans et, depuis peu, les voiles et l’électronique de bord sont « dernier cri ».

Laurent Bourguès est donc un concurrent avec lequel il faudra compter sur cette course transatlantique où le talent, la détermination, la capacité à anticiper (voir à surmonter) les pépins techniques sont les clés du succès.