Chloé Le Bars
   
Chloé Le Bars

Nationalité Française
Vit dans le Finistère
Né le , 24 ans

Profession : naviguateur


prend le départ de la Solo Guy Cotten 2024

Mise à jour : 19 mars 2024
 
   
 

PALMARÈS :

2024 :
- 33ème de la Solo Guy Cotten

2023 :
- 15ème Solo Maitre CoQ
- 6ème de la Transat Paprec avec Hugo Dhallenne
- 13ème du Tour de Bretagne avec Ronan Treussart
- 19ème de la Solo Guy Cotten
- 13ème de la Solitaire du Figaro-Paprec

2022 :
- 17ème de la Sardinha Cup
- 22ème Le Havre Allmer Cup
- 9ème Trophée BPGO
- 27ème Solo Maitre CoQ
- 25ème de la Solitaire

2021 :
- Vainqueur Sélection Région Bretagne CMB Océane
- 28ème Mini Transat 2021

2017 :
- 1ère Championnat de France Espoir Laser Radial
- 1ère Championnat de France Open Laser Radial

Portrait :

La jeune Chloé Le Bars dispute sa première course au large en Figaro 3, la Solo Maître CoQ (du 15 au 24 avril 2022). La skippeuse est très enthousiaste pour ce nouveau challenge dans sa carrière. Rencontre.


Après sa victoire au Challenge Océane en décembre, Chloé Le Bars, 24 ans, dispute actuellement sa première course au large en Figaro 3. Un nouveau challenge dans sa carrière sportive. « Il y aura plein de choses qui seront nouvelles pour moi en Figaro. Durant trois mois je me suis entraînée avec le pôle Finistère. Je me sens prête, même si je sais bien que j’ai beaucoup de progrès à faire ! »

Elle s’est entraînée d’arrache-pied pour cette course : entraînement physique, préparation mentale, navigation… « Depuis janvier, j’ai fait sept stages de préparation. On a fait des offshore, qui permettent de prendre un rythme de vie à bord, de savoir comment gérer son sommeil. Ensuite de mon côté j’ai navigué pour prendre en main le bateau, l’électronique et les choix de voile que l’on fait à certains moments. »

De la gymnastique à la course au large

Même si elle est une amoureuse de la voile, la skippeuse a commencé le sport loin des bateaux. Dans son enfance, Chloé Le Bars s’éloigne des côtes du Finistère pour s’installer à Carhaix avec ses parents. « Avant, je faisais de la gymnastique et de la natation, explique la jeune skippeuse. On a fini par revenir sur la côte et mes parents se sont dit, pourquoi ne pas m’inscrire à la voile ? »

Au début, Chloé Le Bars n’est pas très emballée à l’idée de faire de la voile. « Je n’ai pas trop accroché. Ce n’était pas si chouette l’hiver, il faisait froid, on était mouillés (rires). Mais de fil en aiguille, j‘ai aimé de plus en plus la voile. » La skippeuse a par la suite découvert plusieurs clubs, plusieurs supports. Et testé différents types de bateaux. Lorsqu’elle arrive à Lorient, elle découvre le laser grâce à la section sport-étude dans son lycée. Elle deviendra d’ailleurs championne de France de cette discipline en 2017. Les années scolaires passent et Chloé Le Bars accroche totalement à la voile. « Je ne me voyais plus trop faire autre chose que de la voile comme activité extrascolaire », explique-t-elle.


 
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