Né le 3 mai 2002
Bachelier 2019
Vit à Saint-Philibert (Morbihan)
Skipper class mini puis class40

prend le départ de la Solo Guy Cotten 2024
prend le départ de la Solo Maître Coq 2024
prend le départ du Tour des îles du Ponant 2024 catégorie Figaro3 avec Tom Laperche
prend le départ de la Solitaire Figaro 2024

PALMARÈS :

2024 :
- 4ème de la Solo Guy Cotten
- 2ème de la Solo Maître Coq
-2ème du Tour des îles du Ponant catégorie Figaro3 avec Tom Laperche
- 7ème de la Solitaire Figaro

2023 :
- 5ème de la Solo Maître Coq
- 8ème de la Transat Paprec avec Violette Dorange
- 16ème du Normandy Channel Race 2023 avec Emmanuel Le Roch
- 2ème du Tour de Bretagne 2023 avec Corentin Horeau
- 3ème de la Solo Guy Cotten
- 2ème de La Solitaire du Figaro-Paprec
- 10ème de la Transat Jacques Vabre avec Emmanuel Le Roch catégorie Class40

2021 :
- 2ème de la mini
- 9ème de la Pornichet select mini
- 6ème de la Plastimo Lorient en mini

2020 :
- 13ème de la mini

Portrait :

Basile n’avait que 17 ans au moment du départ de la Transat Jacques Vabre, le 27 octobre 2019. C’est donc grâce à une dérogation et après avoir participé à la seconde étape du Défi Atlantique avec Emmanuel Le Roch – un parcours de 1 300 milles entre Horta aux Açores et La Rochelle – qu’il est devenu officiellement le co-skipper du Class40 Edenred, et le plus jeune participant engagé sur cette 13e édition de la course.

« Je connaissais bien Laurent et je suis toujours très proche de sa famille. Après en avoir parlé à mon partenaire Edenred, j’ai d’abord posé la question à Caroline, la maman de Basile, qui était très émue. Quant à Basile, il a tout de suite dit oui ! » explique le skipper d’Edenred.

À tout juste 17 ans, d’une maturité déconcertante, Basile Bourgnon est passionné de vitesse. Celui qui a grandi sur le catamaran familial en Nouvelle-Zélande est depuis tout petit naturellement attiré par le multicoque.

En 2018, il monte et gère un projet Diam 24 sur le Tour de France à la Voile. L’envie de large devient de plus en plus forte. Lorsqu’Emmanuel lui propose de participer à la Transat Jacques Vabre, il croit d’abord à une plaisanterie : « J’ai 16 ans, je suis à la sortie du lycée et je reçois un coup de téléphone de Manu. Je n’y crois pas ! Je n’y crois pas, car c’est un rêve, un projet qui mûrissait dans ma tête, mais qui ne me paraissait pas encore accessible. »